
Style and accessories associated with Oriental Dance (english translation coming slowly!!! it's a work in progress!)
Isis Wings : Isis wings are a reference to the egyptian goddess Isis, often represented by her long goldent wings as a sign of. Isis wings are a recent addition to oriental dance and always dazzle spectaters.
Baladi : Baladi is an urban folklore style which is preserved by the village peasants who imagrated to the cities as a way to preserve their traditions. It is danced in a long dress with baire feet. There are actually two styles of baladi.
styles de danses
baladi : celui dansé sur des chansons baladi, c’est-à-dire traditionnelles et le baladi (que certains appellent tet baladi, baladi awadi ou ashra), c’est-à-dire le baladi progression qui commence lentement pour s’accélérer. Il met en valeur un instrument en particulier, souvent l’accordéon. Il est traditionnellement joué ET dansé en improvisant. C’est un style de danse « social » plutôt que technique.
Bambouteya/Simsimeya : Danced of the fishermen in the region of port Said, d’Ismaïlia et du Canal de Suez. The simsimeya is a small lyre that give's the dance it's name. Young girls sing and dance to give luck to fishermen so they may return with full nets. habillées d’un capri et d’une petite tunique, coiffées d’un chapeau de pêcheur. On les voit aussi parfois accompagner le rythme à l’aide de petites cuillères.
Fellahi : En Égypte, on appelle « fellah » le paysan qui cultive la terre. Ce style de danse dépeint la vie quotidienne, où les femmes se rencontrent sur les berges du Nil afin de puiser l’eau, faire le lavage et en profite pour… potiner un peu. Les hommes, eux, souhaitent se faire remarquer d’elles et les taquinent un peu.
Debke : Le dabke est un style de danse en ligne provenant du Levant et comportant plusieurs variations selon la région. Les hommes comme les femmes le pratiquent en se tenant par la main et en frappant fortement le sol. D’ailleurs, debke signifie « coup de pied ».
Drum solo/Solo de percussions : Solo de percussions où domine le tabla (tambour posé horizontalement sur la cuisse). Aussi appelé tabla solo, il sert à démontrer le talent de la danseuse, ses habiletés techniques et tout le contrôle qu’elle exerce sur son corps. C’est un style dynamique requérant de la précision. C’est le point culminant d’une routine traditionnelle.
Ghawazee : Considérées par certains des gitanes, les ghawazee (ghawazi) étaient très actives en Égypte, aux 18e et 19e siècles. Danseuses et amuseuses publiques (il y avait des hommes aussi), elles offraient leurs performances aux classes populaires dans les rues du Caire. Elles sont connues pour utiliser entre autres les cymbales (sagates) avec brio. Elles seraient à l’origine de la danse orientale telle qu’on la connaît aujourd’hui.
Haggalah : Danse des bédouines du désert, au nord-ouest de l'Égypte près de la frontière de la Libye. Certains affirment qu’elle serait exécutée comme rite de passage, d’autres à la veille d’un mariage. Traditionnellement, elle est dansée avec une seule danseuse (une fille prête pour le mariage) faisant face à une ligne d’hommes tapant dans leurs mains, parmi lesquels *elle* choisira celui qu’elle désire épouser.
Melaya Leff : La melaya est un grand châle noir et lourd dont s’entouraient traditionnellement les femmes égyptiennes pour sortir en ville. Vers 1959, Mahmoud Reda a inventé un style de danse théâtrale à partir de cette melaya où est dépeinte une femme coquette souvent d’Alexandrie ou des quartiers populaires du Caire qui, de façon discrète -ou non- cherche à se faire remarquer des hommes et qui se sert de sa melaya pour attirer leur attention en se dévoilant ou se cachant.
Muwashahat/Andalou : Le style andalou, rencontre entre les cultures hispaniques et arabes, est issu d'Al-Andalus (l’Andalousie), nom donné par les Arabes à la péninsule ibérique (Espagne, Portugal) qu'ils occupèrent pendant 7 siècles. Avec eux, la vie de cour s’est brillamment développée et la culture artistique s’est épanouie donnant lieu à la création de poésie à la base de la musique andalouse.
Nubien : Danse folklorique traditionnelle provenant de la Nubie, au sud de l’Égypte, à la frontière du Soudan. L’influence africaine s’y fait grandement sentir. En général, cette danse est exécutée par des hommes et des femmes, le costume est une robe recouverte d’un « guirguir » traditionnel (robe transparente par-dessus une robe colorée).
Oriental/Classique : Le style classique, appelé en arabe « raqs sharqi » qui se traduit par danse orientale, provient du style folklorique baladi qui est un solo improvisé dansé en robe, pieds à plat et avec peu de déplacements. Avec les influences occidentales, ce solo s’est transformé et est devenu très aérien avec l’incorporation des pointes, des arabesques, des tours et des mouvements des bras et du haut du corps. La robe a fait place au costume 2 pièces (brassière, ceinture/jupe) et l’improvisation à la chorégraphie. La danse classique est souvent décomposée en sections associées à divers rythmes rapides ou lents. Les mouvements sont petits, très internes et précis. C’est ce que l’on voit le plus souvent dans les restaurants, les cabarets ou les fêtes privées et ce qui est le plus souvent représenté dans les médias.
Pharaonique : Cette danse fantaisiste, en aucun cas traditionnelle, consiste en la reproduction des postures et costumes provenant des peintures et bas-reliefs des tombes et temples égyptiens, du temps des pharaons. Pop : Musique populaire (à la mode) qui joue dans les stations de radio et de télévision du Moyen-Orient, où les émissions présentant des vidéoclips en continu ont la cote. Sabre : Bien que la danse du sabre ait une origine contestée (d’aucun pense qu’elle serait une invention américaine, alors que d’autres affirment qu’elle était présente à la cour ottomane) plusieurs apprécient ce style mystérieux et reconnaissent la difficulté de l’exécution d’une telle danse, où la danseuse fait tenir le sabre en équilibre sur son corps et travaille parfois au sol. Saïdi : Danse folklorique traditionnelle issue du sud de l’Égypte (Haute-Égypte), qui utilise le rababa et le mizmar comme instruments musicaux traditionnels. Les pas et mouvements sont principalement calqués sur ceux des chevaux et sur l’exécution des activités de la vie quotidienne. C’est un style qui permet d’apprécier toute la joie de vivre des habitants de cette partie de l’Égypte, mais aussi leur force de caractère et leur fierté. Le saïdi peut aussi être dansé à l’aide d’un bâton ou d’une canne (raqs el assaya). Cette forme prend son origine dans les combats exécutés par les hommes à l’aide de grands bâtons (tahtib). Les femmes se seraient mises à les imiter, ce qui a donné ce style de danse.
Shaabi : Le shaabi est une musique urbaine qu’on dit « du peuple ». Elle est caractérisée par sa gaieté, sa rapidité, ses sous-entendus et par ses messages parfois dénonciateurs qui reflètent la fierté égyptienne. Elle est omniprésente dans les rues du Caire, particulièrement dans les transports en commun et les mariages célébrés à l’extérieur. Elle est donc très utilisée pour danser « socialement ».
Shamadan/Chandelierc/Candelabre : Le chandelier est un accessoire traditionnel aux mariages égyptiens pour le zaffa, la procession des mariés où la lumière est censée guider le couple vers la prospérité et le bonheur. Tanoura : Danse folklorique égyptienne qui consiste à tourner sans arrêt sur soi-même. À la base, elle est dansée par les hommes dans les festivals à caractère religieux (moulid). Elle se rapproche des danses exécutées par les derviches tourneurs (sufi) en Turquie. Dans la version égyptienne, le danseur porte des jupes colorées superposées qu’il retire en faisant des manipulations divertissantes qui montrent son adresse.
Taqsim : Un taqsim est l’improvisation que fait un musicien avec son instrument, par exemple le nay, le violon, le kanoun, etc. Par le fait même, la danseuse se doit d’improviser. C’est une partie où la fluidité et l’émotion prédominent, tout comme les qualités d’interprétation de la danseuses sont mises de l’avant quand elle exécute un taqsim. C’est une partie lente, servant souvent en introduction à d’autres musiques telle que le baladi progression ou une section incorporée à l’intérieur d’une chanson.
Voile : Le voile relève surtout du fantasme hollywoodien et est particulièrement présent aux États-Unis. Le voile serait apparu en Égypte vers les années 1920-1930 alors que les danseuses, influencées par les Européens et les ballets russes, ont voulu incorporer de nouveaux éléments à leurs numéros. Bien que non traditionnel à la danse égyptienne, plusieurs apprécient le voile pour sa fluidité et sa sensualité.
Zaffa : Marche nuptiale dans laquelle des musiciens et danseuses conduisent les mariés à l’ouverture de la noce. En avançant ou sur place, ils interagissent avec le couple ou les invités. Dans ce tableau, il est habituel de voir au moins une danseuse portant le shamadan (chandelier) et jouant les cymbales.
Zar : Cérémonie spirituelle effectuée par des femmes qui dansent dans le but de se soigner la douleur reliée au stress ou à la maladie (de chasser le mauvais esprit qui a pris possession de leur corps). Au bout d’un long moment de danse sur des rythmes répétitifs, elles tomber en transe. Parfois, ce rituel est reproduit sur scène mais, au Moyen-Orient où elle est pratiquée, elle est généralement privée, fermée au regard des hommes.